Le placard automatique
Titre original "The Auto-Closet", par Kristen O parue dans Fictionmania. J'aime bien cette histoire assez classique de placard automatique fou. Il y a un peu d'érotisme vers la 4e partie mais pas trop.
Prélude
Une silhouette solitaire a été
accidentellement transportée dans un futur pas si lointain en utilisant une
machine à voyager le temps de sa propre création. Elle émergea dans la chambre
d'une dame remplie d'équipements futuristes. Elle ne s'est pas rendu compte où
elle était. Une machine dans le coin de la pièce attira son attention.
I - Découverte
Jack s'approcha de l’étrange machine et
examina le panneau de commande. Un interrupteur était laissé sur marqué
"activée". Un autre interrupteur, marqué «amélioration physique»
était vert brillant. Un autre, marqué "relooking total" était
également vert. La machine elle-même était de forme rectangulaire, d'environ 6 mètres
de long, 3 mètres de haut et 2,50 mètres de large. Une rampe permettait
d’accéder à une porte qui avait des marques sur sa surface et pas de poignée.
Il marcha sur la rampe pour regarder de
plus près les marques sur la porte quand la machine prit vie. La machine,
sentant ce qu'elle pensait être les traces de sa propriétaire, commença à
déplacer la rampe.
Alors que la rampe commençait à bouger
sous ses pieds, Jack essaya de se dégager de la rampe. Mais ses pieds furent
soudainement maintenus à la rampe par une sorte de force magnétique, quand la
machine sentit que son poids avait changé. Une voix automatique de la machine
dit : "pour votre sécurité, Magna-Grip a été activé". Quand la rampe
l'a amené à la porte, la porte glissa. Il jeta un coup d'œil aux marques sur la
porte qui se déplaçaient au-dessus de la porte et indiquait "modèle Placard Automatique numéro de série 20105F".
Jack se rendit soudain compte qu'il
n’était pas dans une bonne situation.
"Merde !" s'exclama Jack. Il essaya alors de quitter la rampe
mais le champ magnétique tenait ses pieds comme de la glu. Alors que la rampe le déplaçait plus loin à
l'intérieur de la machine, il tenta de s’agripper sur le cadre de la porte avec
ses bras, mais à nouveau la machine sentit son corps bouger et activa un champ
de force qui doucement le maintint en place. Jack se retrouva les bras relevés
au-dessus de sa tête et son corps rigidement tenu droit.
La machine lui parla, "Bonjour,
Linda. On est un peu étourdie à cause des activités de la veille ?"
"Oh, non !", Jack pensa, "Cette machine me prend pour sa
propriétaire, Linda." "Je ne
suis pas Linda!" cria Jack, "Je m'appelle Jack, Je suis un homme
!" En tant que Placard Automatique modèle numéro de série
20105F, la machine était seulement
conçue pour parler de la pluie et du beau temps avec sa propriétaire et
accomplir sa fonction, habiller et relooker
sa propriétaire de la manière la plus féminine possible.
Pensant à tort que sa propriétaire
plaisantait, le Placard Automatique répondit,
"Eh bien, eh bien. On a envie de
plaisanter aujourd’hui, Linda. Je vais
maintenant commencer l’analyse automatique."
La rampe s'arrêta juste quand Jack était à
l'intérieur de la porte. Jack regarda
plus loin vers l'intérieur, toujours incapable de bouger. Plus bas la rampe était sombre. Un faisceau vert plat s’alluma dans le
segment de la machine où il était. Elle
commença à le scanner du bout de ses doigts à ses orteils. Il pouvait entendre des cliquetis et des bips
tandis que la machine analysait son échographie. La machine sembla hésiter,
apparemment confuse. Le profil physique
qu'elle venait juste de scanner ne semblait pas correspondre à celui de sa
propriétaire. Jack sentit son hésitation
et commença à se sentir soulagé.
"Tu vois, stupide machine !
Je suis un homme. Laisse-moi
sortir maintenant!"
Tout au fond, un simple sous-programme
logique de la machine tira une conclusion et la machine parla, "Vilaine
Linda, vous avez pris quelques kilos et arrêté de
travailler. Je vais m'occuper de ça."
Jack supplia, "Non, non ! Laisse-moi
juste m'en aller!" en se débattant désespérément maintenant, les bras
toujours suspendus au-dessus de sa tête et incapable de bouger. Des bras mécaniques se mirent à enlever
doucement les habits de son corps.
D'abord, sa chemise fut déboutonnée et emporté au-dessus de sa
tête. Ensuite, il baissa les yeux et vit
des doigts mécaniques déboucler sa ceinture, descendre la fermeture éclair sur
son pantalon et délacer ses baskets.
Tandis que ses chaussures, ses chaussettes et son slip disparaissaient,
il sentit son short être
glissé vers le bas de ses jambes, le dernier vestige de ses vêtements
masculins.
Il se sentit complètement nu, désespéré et
vulnérable pour ce qui l'attendait plus loin.
La machine était prête à mettre la transformation en route. De la sueur
luisait sur son front et il se sentit rougir alors que la rampe recommençait à
bouger vers le segment suivant de la machine. "Je vais entamer votre
amélioration physique pour vous faire retrouver votre beau visage normal,
Linda," dit la machine. Jack regarda alors des sondes métalliques se
détacher des parois tout autour de lui, en s'arrêtant près de sa peau. "Ça va sans doute piquer un peu,"
dit la machine. De petites étincelles se mirent à danser autour des sondes
métalliques. Les étincelles se mirent à grandir de plus en plus autour des
sondes, puis quelques-unes sautèrent sur lui, fauchant quelques tiges de poils
sur sa peau. Ça piquait légèrement. De plus en plus d'étincelles jaillissaient
de la sonde pour faucher les poils de son corps et il sentit bientôt comme des
fourmis en train de courir sur tout son corps.
Il regarda tous les poils de son corps et de son visage disparaître ou
tomber par terre.
Aussitôt que ce processus finit, un
nouveau commença. Un large métal casque
avec des câbles descendit sur la tête de Jack.
Deux disques de succion se détachèrent lentement et se collèrent à
chaque muscle pectoral sur sa poitrine.
Les disques étaient froids avec un genre
d'adhésif collant et mou sur leur surface, ils lui rappelaient des
sangsues. D'autres similaires se collaient à ses hanches et il sentit, plutôt
qu'il ne vit, des dispositifs en forme de coupe s'attacher à ses fesses.
"Oh, non ! La machine est en train d'essayer de me donner des seins, des
hanches de femme et des cheveux longs," déduisit-il. Soudain, tous les appareils s'animèrent. Jack fut secoué as une combinaison d'énergie
électrique et un mouvement de succion commença où chaque appareil était attaché
alors que le Placard Automatique paumé
essayait de changer le corps de Jack en la même silhouette que sa propriétaire.
Juste quand Jack allait s'évanouir, le
mouvement de succion et de chocs s'arrêta.
Lentement, chaque appareil se détacha de lui. Jack regarda son corps avec horreur. Comme les appareils sur sa poitrine se
détachèrent, au-dessous d'eux il y avait des seins souples qui pointaient, ses
seins! Quand l'appareil sur sa tête se souleva, de longs cheveux noirs ondulés
tombèrent sur ses épaules. Ses hanches
étaient parfaitement élargies.
Son corps lui semblait complètement
étranger. Il était froid et lisse sans
poils sur le corps et la figure, il
sentait ce poids supplémentaire et une sensation tremblotante sur sa
poitrine. Ses hanches et son derrière
ressemblaient à ceux d'une autre personne.
Il commençait à se demander s'il pourrait même se rechanger en lui-même.
Comme si le signal, la rampe redémarra,
déplaçant un Jack à l'allure féminine au prochain segment. A ce moment, des bagues de métal
s’attachèrent à ses doigts et ses orteils. Un masque descendit lentement. Jack
tenta de s'écarter, mais il s'attacha à son visage et une légère succion
s’appliqua. Jack s'imaginait rassembler
à une infortunée victime dans le film, "Alien". Il y avait des
sensations humides, de chatouillis sur ses lèvres, ses paupières, ses cils et
ses pommettes. Il ressentit de petits chocs autour de ses sourcils.
La machine était déterminée à le faire ressembler à Linda et il était incapable
de stopper ça !
Quand les appareils se détachèrent de son
corps, il vit que la machine lui avait donné de longs ongles roses. Il regarda au-delà de ses seins de jeune
fille tout neufs et vit que ses ongles d'orteils étaient aussi roses. Il pouvait sentir le maquillage sur sa
figure. Ses cils, maintenant longs et
pleins, soulignaient son regard. Ses
lèvres étaient humides avec le rouge à lèvres. Du parfum fut aspergé sur son
cou, entre ses seins, et sur son ventre. Une douleur vive dans ses lobes
l'alerta que des boucles
d'oreilles avec une perle étaient attachées à ses oreilles.
La rampe le déplaça vers le segment
suivant. Les changements que la machine
lui avait donné commençait à le submerger.
Des bras mécaniques émergèrent du mur.
Une culotte rose en dentelle, de coupe française, fut enfilé sur ses
jambes. Au même moment, un soutien-gorge
assorti tomba sur ses bras levés, enveloppant ses seins. Le soutien-gorge commença à se resserrer autour de lui comme il était
attaché, relevant légèrement ses seins et lui donnant un clivage. Cet effet lui
fit cligner des yeux. Ensuite, des
collants beiges furent enroulés sur ses jambes. Les collants lui faisaient un
drôle d'effet, comme quelque chose de lisse et de soyeux s'accrochait fermement
à ses jambes, mais il pouvait sentir la fraîcheur de l'air comme s’il ne
portait rien. Puis une combinaison fut tirée sur
ses bras. Il sentit la légère touche de
soie qui frottait contre ses collants. Une jupe serrée et entièrement doublée,
à motif noir, s'éleva au-dessus de ses hanches. Il
sentit que la fermeture à glissière était tirée par derrière. Un chemisier
blanc commença à encercler son torse supérieur pendant que la machine le
boutonnait sur lui. Ses bras glissèrent à travers une veste ajustée assortie à
la jupe. Ses pieds furent enfilés dans des escarpins noirs à talons hauts et un
sac à main assorti tombait sur son épaule.
Jack était terrifié. Ses seins montaient et
baissaient tandis qu'il hyper-ventilait.
Au bout de la machine il y avait un miroir. Il reconnut ses propres yeux, mais son visage
et son corps ressemblaient à ceux d’une femme.
Il était habillé de tête aux pieds dans des vêtements de femme jusqu’aux
sous-vêtements. Son corps avait de vrais seins et des hanches. Il avait de longs cheveux ondulés jusqu'aux
épaules. Il avait envie de déchirer tous
ces vêtements et d’essuyer le maquillage, mais il était incapable de le faire.
Alors que la machine faisait une pause
pour que sa propriétaire examine le fruit de son labeur, Jack commença mentalement
d'explorer son corps. Il pouvait
ressentir la constriction de son soutien-gorge sur ses seins, la culotte monter
sur ses hanches. La sensation aérée et
râpeuse des collants sur ses jambes, qui lui permettait
aussi de se tortiller et glisser ses orteils
dans ses escarpins à hauts talons. Il
pouvait sentir le côté glissant de sa jupe doublée sur son derrière
remodelé. L'odeur d'un parfum de femme
atteignit son nez. Jack regarda avec une fascination choquée la belle figure
dans le miroir et une dame le fixait en retour, ses lèvres roses légèrement
entrouvertes.
Une cloche sonna et la machine parla,
"Vous avez l'air splendide, Linda. Passez une bonne journée au
travail." Alors la machine relâcha sa prise sur Jack. Il commença
immédiatement à chanceler sur ses hauts talons, dégringola de la sortie de la
machine et s'évanouit.
Partie II – Réveil
Jack se réveilla
doucement de ce qui semblait être un terrible cauchemar. Il avait rêvé qu'il était transformé en femme
et forcé de s’habiller en femme. Il
revint lentement à lui et força l'un de ses yeux à s’ouvrir de crack. Il vit ses cheveux longs bloquer sa vision ce
qui le ramena d'un coup dans la réalité.
Ce n'était pas un rêve ! "Je
suis en vêtements de dame !" Il
essaya de crier, mais vit qu'il devait avoir cogné sa gorge quand il s’était
évanoui, et tout ce qu'il put faire ce fut un faible murmure. Il essaya de se redresser, mais se trouva
faible et étourdi.
Quand Jack déplaça son poids pour
s'asseoir, il vit une paire de chaussures d'homme devant lui. Surpris, Jack leva les yeux et vit un homme à
l'air préoccupé le scruter ! Jack
commença à paniquer: le voici habillé totalement en femme et un homme était en
train de le regarder. Cet homme
pouvait-il dire que Jack était un homme habillé en femme ? Jack essaya de se lever, mais il était encore
trop faible. Jack essaya de parler, mais ne put même pas murmurer. L'homme parla, "Mademoiselle, allez-vous
bien ?" Il mit son bras sous les
bras de Jack et supporta son dos. Il mit
son autre bras sous les jambes de Jack gainées de nylon et souleva Jack du
sol. Jack se sentit avachi dans les bras
de l’homme. Il se sentait à demi-nu
parce qu'il avait une jupe courte au lieu d’un pantalon.
Alors que l'homme marchait vers le
lit avec Jack dans ses bras, il
expliqua, "Je suis docteur. Votre Placard Automatique m'a appelé quand il a senti
que vous vous êtes écroulée, Mademoiselle. Il me faut vous examiner pour voir
si vous allez bien." Jack essaya de
protester, de lui dire de juste s'en aller, mais était incapable de
parler. De ce que Jack pouvait dire, le docteur croyait
que Jack était une dame sans même le regarder.
Le docteur plaça Jack sur le lit et comme
Jack essayait faiblement de se redresser, le docteur le repoussa en arrière.
"S'il vous plaît, heu..., Linda c'est ça ?
Détendez-vous. Au fait, je m'appelle Steve." Le docteur atteignit le côté du lit, ouvrit
sa sacoche de docteur et trouva un stéthoscope. Jack sentit le docteur
déboutonner son chemisier. Alarmé, Jack
essaya de repousser la main du docteur, mais fut facilement maîtrisé. Jack sentit la main du docteur bouger à
l'intérieur le haut de sa combinaison avec le stéthoscope. Ses seins se
couvrirent de chair de poule alors que la main du docteur frôlait son soutien-gorge,
vers son cœur. Il sentit le froid métal du stéthoscope sur sa poitrine.
Jack regarda Steve reboutonner sa
blouse. "Linda, vous semblez bien,
juste un peu fatiguée, et cette contusion sur
votre cou devrait vous empêcher de parler pendant un moment." Jack vit que Steve était maintenant en train
de sourire et de le regarder comme un homme regarde une femme... seulement Jack
n'était pas une femme ! Avant que Jack
puisse réagir ou protester, le docteur attrapa les épaules de Jack et l'attira
dans ses bras. Ses lèvres touchèrent les lèvres peintes de Jack. Jack était horrifié et révolté. L'horreur de
Jack donna à son corps l'adrénaline dont il avait besoin pour réagir. Jack leva
sa main, en essayant de cogner le docteur, mais ça finit en une gifle, les
ongles longs de Jack griffant le visage du docteur.
Le docteur, irrité par la gifle et
craignant que "Linda" le dénonce aux autorités cria, "Linda,
vous êtes en train de délirer ! Je dois
vous sangler. Hé, j'ai besoin d'aide
ici !" Deux autres docteurs
qui attendaient dehors entrèrent. Jack, en train de lutter pour se libérer de
Steve, se retrouva les bras attachés par les deux autres docteurs qui le
submergèrent. Il sentit que des sangles
de cuir étaient bouclées à chaque poignet, ses bras étaient écartés et les
extrémités des sangles étaient attachées à chaque colonne de lit. Ses jambes furent maintenues étroitement
tandis qu'elles étaient également bouclées. Craignant la possibilité d'être
accosté en tant que femme, Jack essaya de garder ses jambes jointes, mais elles
furent lentement écartées quand les docteurs bouclèrent les sangles des jambes
aux colonnes au pied du lit.
Voilà donc Jack allongé les bras en croix
et désespéré. Il était tout paré de vêtements de femme, sans pouvoir
parler pour leur dire qu'il n'était pas une fille et pour l'aider à le
rechanger en son ancien lui. L’un des docteurs sortit une seringue
hypodermique, "Cela va vous aider à dormir." Jack sentit une piqûre in son bras, et sentit
une lente sensation de brûlure monter dans son bras, puis il commença à se
détendre. L'autre docteur enleva les
hauts talons de Jack en disant, "Nous contacterons vos proches pour
veiller sur vous, Linda." Puis ils
quittèrent la pièce.
Jack sentit un courant d'air sur ses pieds
en collant comme la porte claqua. Sa
tête commença à vaciller. Il lutta contre ses liens, mais en vain. Il regarda ses poignets, haussa les épaules
as ses ongles vernis lui rappelait son état féminin. Les boucles avaient l'air solides. Il tenta de combattre la drogue et rester
éveillé, ne voulant pas tomber endormi dans l'état de détresse dans lequel il
était. Sa conscience s’évanouit.
Jack se força à ouvrir les yeux. Combien
de temps avait-il été KO ? Il déduisit
qu'il n'avait pas dormi longtemps, puisque les proches dont les docteurs
avaient parlé n'étaient pas encore arrivés. Jack se sentait plus fort et se
débattit avec les liens. Juste alors, il
entendit un bruit. Quelqu'un venait et
Jack était couché sur le ventre, ligoté et habillé en fille. Jack se débattit
de plus belle contre ses liens. La porte de la chambre s’ouvrit. Jack leva les yeux et vit que c'était une
fille à l'air surpris. "Qui êtes
vous ?" cria-t-elle. "Qui vous
a attaché à mon lit? Pourquoi
portez-vous mes vêtements?" C'était
la vraie Linda, qui rentrait juste du travail.
"Je vais appeler la police!" et Linda quitta la pièce.
Jack paniqua en pensant, "Pas la
police, qu'est-ce qu'il va encore m’arriver !" Il tira sur ses sangles et une colonne de lit
se rompit, libérant son bras droit. Merci mon Dieu
pour les lits pas chers ! Il
tendit la main et commença à déboucler la sangle de sa main gauche, et il
écoutait Linda appeler la police dans la pièce d'à côté. Il était difficile pour Jack de déboucler les
sangles à cause de ses longs ongles, mais finalement il était libre. Il entendit Linda quitter la pièce et sortir,
supposant qu'elle ne voulait pas être dans la même pièce avec un complet
étranger, ligoté ou non. Mais Jack était
libre.
En allant à la machine, Jack ressentit une
bizarre impression comme ses seins rebondissaient et que sa jupe serrée
l’empêchait de courir. Bizarrement, Jack marchait plutôt qu'il ne courait car inconsciemment,
il ne voulait pas déchirer les vêtements apparemment fragiles qu'il portait.
Jack se mit à l'entrée du Placard Automatique, en pensant que si ça pouvait
le transformer en femme, alors ça pouvait le transformer en ce bon vieux Jack à
nouveau. Il s’arrêta devant le panneau
de contrôle et éteignit le bouton "amélioration physique". "Ça devrait le faire!" dit Jack
plein d'espoir. Il sauta sur la rampe,
certain que la machine le rechangerait en homme.
De nouveau, la machine commença,
"Hello, Linda! Avez-vous passé une
bonne journée ?" La machine
commença son analyse, sentant que cette forme physique correspondait assez au
profil de Linda. Des bras mécaniques
sortirent et enlevèrent la veste sur mesure et le chemisier de Jack. Il sentit sa jupe être dégrafée par derrière,
glisser doucement sur ses jambes et disparaître. La machine enleva sa combinaison, et se mit à
dégrafer son soutien-gorge. Jack souffla
de soulagement comme le soutien-gorge était dégrafé, ôtant la pression des
bretelles du soutien-gorge de ses épaules endolories. Jack était prêt à être rechangé en lui-même
dans le second segment "physique augmentation", mais la rampe
l'emmena plus loin, dans le troisième segment.
Jack de nouveau paniqua, "Oh, non!
Ça ne marche pas. Il faut que je
me tire d'ici." Mais comme il essayait
de bouger, la machine une fois de plus installa un champ magnétique qui
l’empêcha de nouveau de bouger. De
nouveau, le masque à maquillage jaillit vers lui et s'attacha à sa figure,
rappliquant et retouchant son précédent maquillage. Il bougea au quatrième segment et vit, avec
frustration, que les mains mécaniques étaient en train de l'attendre avec plus
de vêtements de Linda. Cette fois, la
machine mit un tanga de couleur pêche, un soutien-gorge assorti sur lui et une
combinaison de couleur pêche. Des collants couleur chair furent enfilés sur ses
jambes et une éclatante robe bain de soleil à fleurs qui s'arrêtait aux genoux
descendit en flottant autour de lui, de couleur lavande et bleu clair sur fond
blanc. Jack sentit la robe se resserrer alors que la machine fermait la
fermeture éclair de sa robe. Des sandales lavandes, ouvertes au bout et à hauts
talons furent placés à ses pieds et un sac à main assorti fut placé sur ses
épaules. La machine une fois de plus
l'amena devant un miroir. Jack, frustré,
scruta son reflet as ça révélait sa figure, complètement émasculée,
pratiquement une beauté du sud en robe bain de soleil. A nouveau, la machine le déposa à la sortie,
et le champ de force fut relâché.
Jack faillit tomber quand le champ de force
fut relâché, en luttant pour maintenir l’équilibre sur ses fragiles sandales à
hauts talons. Les collants faisaient glisser ses pieds dans les chaussures.
Jack réalisa soudain qu'il devait sortir
de là avant l’arrivée de la police. Il
sortit vite en se faufilant de la machine vers la porte de la chambre. Il n’y
avait personne in le salon et il y entra. Surpris, il vit que Linda avait
laissé son sac à main derrière dans sa hâte de quitter le building. Il ouvrit son sac à main et découvrit un
livre de poche avec de l'argent et des cartes de crédit, du maquillage, et
d’autres choses assorties. Il les
transféra dans son sac à main lavande et courut à la porte d'entrée.
Qu'allait rencontrer dehors Jack dans ce
futur monde cauchemardesque ? Le voilà
habillé en robe d'été, complètement remodelé en fille. Même s’il trouvait des
vêtements d'homme, comment faire pour ramener sa figure à la normale ? Il
pouvait se faire couper facilement ses cheveux longs jusqu'aux épaules comme un
homme, mais comment pouvait-il déguiser ses seins saillants et ses larges
hanches ?
Partie III – Fuite
Jack quitta la porte d'entrée et se
retrouva dans ce qu'il
croyait être une copropriété. Il
vit un ascenseur au bout du couloir et se dirigea vers lui. Il se sentait bizarre
en marchant, comme si il était à demi nu puisqu'il ne portait plus de pantalon.
Ses seins gigotaient, en forçant doucement
sur les bretelles du soutien-gorge sur ses épaules. Il était conscient de ses
hanches larges et des sandales à talon haut qui faisaient se balancer d'un côté
à l'autre son postérieur. Il sentit la robe frotter contre ses collants et une
brise fraîche sur ses jambes. Il devait se battre pour conserver son équilibre
comme ses pieds en collants n'arrêtaient pas de glisser dans ses sandales. Sa chevelure rebondissait autour, chatouillant ses
épaules.
Lorsque Jack atteignit l'ascenseur, la
porte de l'ascenseur s'ouvrit et deux policiers en sortirent, et rentrèrent
presque dans Jack. Jack était horrifié. Était-il allé si loin juste pour être pris
? Il imagina être recherché et
"découvert" être un homme. Ils le jetteraient dans une prison pour
hommes habillé totalement en femme avec de vrais seins. Il frémit à la pensée
de ce que les prisonniers lui feraient.
Tandis que Jack s'arrêtait sur place, les policiers sourirent simplement
à Jack, comme on fait quand on rencontre une jolie jeune femme.
"Excusez-moi, Mademoiselle," l'un d'eux lui fit un clin d’œil quand
ils le croisèrent. Surpris, Jack entra vite dans l'ascenseur et pressa le
bouton du rez-de-chaussée.
Alors les portes l'ascenseur s’ouvrirent
au rez-de-chaussée, Jack vit un attroupement à la réception, et Linda au centre
l'air paniqué. Jack regarda tout autour,
vit l'entrée du parking souterrain et y alla.
Un courant d'air froid cogna les jambes gainées de nylon de Jack et se
faufila jusqu'à sa culotte quand il entra dans le garage. Il plaqua la robe
pour l'arrêter de se soulever en jetant son sac à main, qui répandit son
contenu sur le sol du garage. Alors
qu'il rassemblait vite tout, il vit des chaussures d'homme devant lui et une
voix familière qui lui fit froid dans le dos, "Puis-je vous aider,
Mademoiselle ?" C'était le docteur,
habillé en vêtements de ville ! "Vous vous souvenez de moi, Linda ?"
Jack pensa à débouler à travers la
réception pour s'enfuir, mais se souvint que la vraie Linda, et la police,
étaient là. Jack essaya de fuir devant
Steve, mais il trébucha dans ses hauts talons et tomba dans les bras de Steve. Il essaya de hurler, mais la main de Steve
recouvrit la bouche de Jack. Jack commença à lutter, mais Steve était trop fort
et habillement de Jack semblaient seulement entraver ses efforts. Jack fut tiré
à l’arrière d’un van sans fenêtres. Steve menotta une des mains de Jack tout en
couvrant la bouche de Jack. Jack se débattit sauvagement, mais sentit son autre
bras être lentement ramené
derrière son dos. Bientôt il fut
attaché à l’autre bras. Un bâillon fut inséré dans sa bouche et attaché.
Steve jeta le haut du torse lié de
Jack dans le van et attrapa les jambes de Jack, les claquant jointes en un
rapide mouvement. Il attacha les pieds
de Jack ensemble avec une serviette.
Quand Jack sentit ses jambes être tirés dans le van, il arrêta de se
débattre, complètement ligoté. Jack soupira fortement de frustration. Est-ce que ce type, si amoureux de Jack,
savait que Jack était en fait un homme piégé en des habits de femme ?
Steve, satisfait que Jack était solidement
ligoté, entra dans le van pour examiner sa prise. Jack regarda désespérément Steve en hurlant,
"Je ne suis pas une fille! Je ne
suis pas une fille! Je suis un homme en
vêtements de femme. Laissez moi m'en
aller !" Mais le bâillon sur sa
bouche étouffait ses cris en quelque chose d'indiscernable pour Steve. Steve
regarda avidement la magnifique dame qu’il avait ligotée sans espoir. La voir
se débattre ne la rendait que plus érotique.
Jack continua de
lutter et de crier alors qu'il sentit une main sur sa jambe, la caresser, glisser de haut en bas ses collants soyeux. Il sentit l'autre main toucher doucement ses
seins, les pressant et les massant. Son
corps commença à chatouiller, mais il sentit la nausée envahir son esprit.
Il sentit la main sur sa jambe se déplacer
vers son derrière, en le massant lentement, les doigts trouvèrent la bande du
haut de ses collants et sa culotte, et les tirèrent lentement. Jack voulait désespérément crier, mais le
bâillon et les liens l'en empêchait.
Juste alors, Jack vit à travers les
portières ouvertes du van ce qui ressemblait aux lumières d'une voiture de
police réfléchies sur le mur du garage.
Un couac caractéristique d'une radio de la police confirma son intuition. Steve le remarqua aussi, et
s’arrêta. Il regarda Jack, frustré,
quitta furtivement le van et disparut, en laissant Jack désespérément ligoté et
bâillonné à l'arrière du van, habillé en fille.
Jack entendit un autre son alors que
quelqu'un approchait du van. Était-ce
Steve qui revenait ? Était-ce la police
? Une voix dit, "Que font ces portières ouvertes ?", et Jack vit les
portières close. Jack entendit la
portière de devant s’ouvrir et se refermer.
Heureusement pour Jack, la cabine du van était séparée par une
partition, donc au moins Jack ne serait pas découvert pendant un moment. Jack entendit le moteur démarrer, et le van
se mit à bouger.
Les bras de Jack étaient attachés
solidement par les menottes, mais il découvrit qu’il pouvait bouger ses jambes
à cause des collants glissants qu'il portait. Il glissa une jambe contre
l’autre pour essayer de se libérer de la serviette qui attachait ses jambes. Le
frottement de sa robe et de sa petite culotte de soie sur ses jambes gainées de
nylon commença à avoir un effet érotique sur lui et il rougit. Le van tourna au coin, et Jack roula sur son
ventre. Il vit ses seins se relever du
haut de la robe, montrant un clivage et lui rappelant les femmes avec il était
sorti autrefois. Voir un décolleté sur
sa propre poitrine le stimulait et l'humiliait à la fois. Il sentait l’odeur de sa sueur mêlée avec le
parfum de femme que la machine avait aspergé sur lui, et la senteur de son
rouge à lèvres à travers sa respiration laborieuse.
Les jambes de Jack se libérèrent de la
serviette. Il devait réfléchir à un moyen de se sortir des menottes et du van
avant qu'il ne s'arrête et il soit découvert.
Le van tourna de nouveau, il roula à travers le plancher et sentit un
objet pointu, avant qu'il roula d'une paroi à l’autre du van. Il essaya de revenir à l'endroit où l'objet
était, mais ses hauts talons ralentissaient sa progression. Il tenta de quitter les talons, mais les
lanières sur les sandales les maintenaient fermement à ses pieds. Maladroitement, Jack rampa vers l'endroit où
il avait senti l'objet. Il le retrouva
et ça avait l'air de clés! Est-ce que les clés des menottes étaient tombées de
la poche de Steve durant la lutte ?
Jack réussit à
mettre la clé dans les menottes avec difficulté: ses longs ongles n'arrêtaient
pas de se mettre en travers. Finalement,
il tourna la serrure et il était libre !
Alors que Jack était sur le point d'ouvrir
les portes, le van s'arrêta et Jack entendit des bruits de pas approcher
l'arrière du van. Les portières
s'ouvrirent, surprenant Jack qui se retrouva en train de regarder un peu
bêtement une femme plutôt mignonne. La femme, également surprise, dit,
"Qui êtes vous et qu'est-ce que vous faites à l'intérieur de mon
van?" Jack ne voulait pas qu'elle
découvre qu'il était un homme, ce qui, avec la chance de Jack, l’amènerait
probablement vers plus d'ennuis donc il essaya de continuer à se faire passer pour une femme. Jack, trouvant
sa voix lui revenant in a haute délicate pitch, répondit, "Quelqu'un a
essayé de m'enlever et m'a ligotée à l'arrière de votre van. Il a pris peur quand vous êtes arrivée. Je viens tout juste de me libérer." Elle était choquée, et remarqua les liens au
fond du van et les marques rouges sur les mains de Jack. Elle dit, "Ma pauvre ! Je vais contacter
la police!" "Non, attendez
!" implora Jack, "N'impliquez pas la police, s'il vous plaît. Je suis profondément embarrassée par ce qu'il
s'est passé." La femme fit une
pause et dit après réflexion, "Alors viens chez moi, s'il te plaît,
jusqu'à ce que tu récupères. Je
m'appelle Jeannette."
Partie IV – Placard Automatique, Modèle Perfectionné
"Je suis Jackie," répondit Jack
comme elle le conduisait chez elle. Elle
assit Jack et le nourrit pendant qu'elle parlait d'elle, ne voulant pas faire remonter l'événement traumatique passé de
Jack. Jack apprit qu'elle était
célibataire et raisonnablement à l'aise, ayant
hérité sa foyer et la fortune de son (récemment) défunt mari.
Jeannette observa Jackie de la tête aux
pieds, et remarqua une belle jeune fille en une éclatante robe bain de
soleil. La robe de Jackie était légèrement déchirée par endroits et elle avait un
accroc dans ses nylons à cause son épreuve. Sa face était salie et son maquillage avait
été barbouillé par son voyage mouvementé dans le van. Il y avait des marques rouges sur ses bras et
ses jambes.
Jack se dit qu'il devrait continuer à
faire semblant d'être une femme pour juste quelques heures de plus. Si il pouvait Jeannette arriver à partir, il pourrait s’introduire dans le
Placard Automatique de son ancien mari et se
rechanger en homme : ce bon vieux Jack, son ancien lui. Puis il
réfléchirait à un moyen de se sortir de cet étrange monde futuriste.
Les pensées de Jack furent interrompues
quand Jeannette s’exclama, "Comme je suis impolie ! Jackie, tu devrais te nettoyer tout de suite
à fond. Il se trouve que j'ai un Placard Automatique modèle de luxe numéro série
30001F, qui a une douche ultrasonique intégrée."
« Oh, non! Pas encore! » pensa
Jack alors qu'il était conduit au Placard
Automatique de Jeannette. Le
changeur maintenait Jack en place en le scannant. Étant une machine de série
plus perfectionnée, elle détecta la présence des attributs virils de Jack. Étant programmé seulement pour l'anatomie
féminine, elle resta perplexe pendant quelques minutes et commença à modifier
son programme.
Jack vit la lumière du scanner s'arrêter
du côté de ses attributs virils et commença à paniquer car il pensait que la
machine allait tenter de l'enlever. Il
essaya de se débattre, mais était maintenu en place. La machine commença enlever délicatement ses
vêtements. Il sentit la fermeture éclair
de sa robe s’ouvrir et glisser par-dessus sa tête. Suivit sa combinaison. Les lanières tenant ses sandales à talon
hauts à bout ouvert furent débouclés et les chaussures enlevées, suivies par
son soutien-gorge, ses collants et sa culotte jusqu'à ce qu'il soit
complètement nu. Il vit un bras
mécanique se déplacer vers son entrejambe et il ferma les yeux pour affronter
la douleur. Mais la douleur ne vint
pas. Au lieu de ça, un mastic semblable
à de la peau s’attacha à ses attributs.
On aurait dit que c’était vivant comme il
aplatissait son profil pour ressembler à un bas ventre de femme, à la
grande satisfaction de la machine.
Son corps nettoyé à fond, le maquillage frais appliqué,
Jack se retrouva dans une mini-robe en tricot couleur crème et des escarpins à
talons hauts assortis.
Jeannette l'accueillit à la sortie,
"Tu as l'air bien mieux, Jackie !" "Merci Jeannette, mais
puis-je utiliser ta salle de bain ?" répondit Jack. "Bien sûr, c'est juste au bout du
couloir." Jack alla dans la salle
de bain et ferma la porte à clé derrière lui.
Jack ôta ses hauts talons et tira sur sa mini-jupe. Il enroula ses collants, prenant soin de ne
pas les accrocher avec ses longs ongles.
Il descendit sa culotte pour examiner la peau artificielle que le Placard Automatique avait attachée à son
entrejambe. Ça collait avec sa vraie
peau et donnait l'apparence d’un clitoris de femme. Il pouvait sentir ses attributs piégés à
l'intérieur. Il tenta de retirer la peau, mais ça ne se détachait pas. Ses attributs étaient comme dans un gel.
Jack se jeta un coup d’œil dans le miroir
et vit une belle femme avec sa robe relevée au-dessus de sa taille, collants et sa culotte descendue sur
ses jambes, avec son pelvis exposé.
Seulement c'était Jack, la femme dans le miroir! L'image de la femme partiellement nue
excitait Jack et ses attributs commencèrent à grossir à l'intérieur du
gel. En pensant avec dégoût que la femme
attirante dans le miroir n'était autre que lui-même, Jack enfila sa culotte et
ses collants et remit la robe en place.
Il glissa ses pieds dans les hauts talons et était sur le point de
partir.
A la surprise de Jack, la peau
artificielle que le Placard Automatique avait
fixé à son entrejambes, n'était pas un simple déguisement. Il y avait des récepteurs neuraux qui lui
permettait d'être fonctionnelle. Puisque Jeannette
était veuve et seule, elle avait programmé son Placard
Automatique pour améliorer son apparence physique avec des stimulateurs
neuraux pour son accomplissement sexuel. Jeannette avait oublié de désactiver
cette fonctionnalité quand elle avait forcé Jack à entrer dedans. Sentant
l'excitation sexuelle de Jack, les stimulateurs neuraux dans le gel encerclant
les attributs de Jack commença à réagir, stimulant et massant Jack avec une
précision d'ordinateur.
Jack ressentit une incroyable sensation
naître autour de son entrejambe. Il ne
pensait it pas naturel d'être stimulé et de n’avoir aucun contrôle sur ça. Il devait se calmer ! Il quitta la salle de bain et demanda
Jeannette si il pouvait s’allonger pour tenter de se détendre. Janet le conduisit à une chambre. Jack ferma immédiatement la porte et
s'allongea sur le lit. Le lit avait des miroirs montés au-dessus. Jack vit son reflet, une séduisante jeune
femme avec de longs cheveux ondulés et un corps
sinueux. Les stimulateurs se
relancèrent. Jack se vit dans le miroir, les tétons on ses seins devenaient
visibles à travers la mini-robe en tricot alors qu'ils durcissaient. Son souffle devenait moins profond à mesure que la
stimulation continuait. Il tendit sa
jambe et vit la femme dans le miroir, son reflet, révéler une cuisse galbée en
collants. Il toucha son entrejambe pour
essayer d'arrêter la stimulation, mais ça continuait. Le programme de stimulation neurale était
conçu pour amener une personne au bord de l'orgasme pour des heures et au-delà.
Jack commença à roucouler maintenant. Son
image dans le miroir au-dessus montrait une fille qui écartait ses lèvres rouge
rubis, en fermant à demi ses longs cils recourbés avec un plaisir évident. Jack pensa, "Au secours ! Non je ne veux
pas que ça arrive. Arrêtez s'il vous
plaît, arrêtez s'il vous plaît ! Je ne
suis pas une fille et je n'aime pas porter des vêtements de fille !" Mais la stimulation continuait et Jack fut
par inadvertance placé dans une sorte d'état de bio feedback. Il vit son reflet, le reflet d’une belle
jeune femme dans les miroirs au-dessus lui, qui l'excitait. Cela faisait agir
les stimulateurs neuraux sur lui, le rendant fou de plaisir de se voir habillé
en femme.
Il sentit ses seins commencer à gonfler,
pousser fort contre son soutien-gorge push-up, et renforcer son clivage. Sa combinaison glissait contre ses soyeux sous-vêtements
et le stimulait. Tandis que son corps
commençait à trembler, ses jambes gainées de nylon commençaient à frotter
contre les draps de
satin. De la sueur glissait sur
son front et son maquillage commença à couler.
Des mèches de ses long cheveux ondulés collaient à son visage. La femme dans le miroir avait l'air
incroyablement érotique. Il respirait le
parfum de femme qu'il portait et l'odeur de son rouge à lèvres, déclenchée par
sa transpiration. Il était incapable de
résister. Sa tête battait, son corps lui faisait mal. Le femme dans le miroir était offerte,
arquant son dos, roulée en boule. Il
était sans espoir, habillé totalement en femme et incapable de bouger, rendu
fou de plaisir.
Il commença à tendre ses hanches
inconsciemment comme son reflet montrait une femme qui tendait son torse vers
lui. Le programme neurale-stimulateur
connaissait 517 manières de provoquer un orgasme masculin et 1.203 manières de
provoquer un orgasme féminin. Son effet
fut profond sur Jack. Jack ne pouvait pas le supporter. Il voulait arracher sa
robe, arracher son soutien-gorge et ses
nylons pour se prouver sa virilité, mais la séduisante femme dans le miroir
l'en empêchait, et le forçait à rester totalement attifé. Ses sens intensifiés menaçaient de le
submerger. Il ce sentait complètement étranger à lui-même as sa culotte, son
soutien-gorge, collants, son slip, sa robe, ses hauts talons et son maquillage
collaient étroitement sur lui. Soudain,
il explosa en un incontrôlable orgasme, en envoyant une décharge électrique à
travers son corps. Les
neurale-stimulateurs ne laissèrent pas tomber as il jouit de nouveau. Il voulait désespérément que ça s'arrête,
incapable d'en supporter plus. De
nouveau, il jouit, son reflet dans le miroir secoué comme une poupée de
chiffon. Lentement, la stimulation disparut.
Jack s'allongea un moment sur le lit,
regardant son reflet dans le miroir, ses seins monter et descendre à chaque
respiration. Sa robe se levait un peu,
révélant partiellement son derrière et la ligne sombre révélatrice où la partie
« culotte » des collants débutait. Un soupçon de dentelle de sa jupe
lui faisait de l’œil.
Il se leva
lentement sur le côté du lit, permettant au tapis pelucheux de la chambre de
chatouiller ses pieds humides, gainés de nylon.
Jack réfléchit un moment et décida qu'il devait se rechanger en homme
avant de perdre la volonté de résister à sa féminisation forcé.
Il déverrouilla la porte de la chambre et
l'entrouvrit juste. Les halls étaient
silencieux - Janet n'était visible nulle part.
Jack se déplaçait à pied de bas, en tenant ses hauts talons in ses mains
tandis qu'il allait à la chambre principale, où était le "Placard Automatique" masculin. Il n'y avait personne à l'intérieur. Jack pressa le bouton "marche" et à
son soulagement, la machine s'anima. Il
monta sur la rampe et la porte se souleva, son cœur battant plus vite alors
qu'il s'approchait de son but. Alors que
la rampe le déplaçait dans le premier compartiment, il fut soudain surpris par
une sensation de démangeaison du côté de son entrejambe.
"Oh, non! Pas maintenant !" Les auto-stimulateurs avaient pris son
suspense pour de l'excitation sexuelle.
Il essaya de bouger sa main vers son entrejambe, mais un champ
magnétique du Placard Automatique le
maintint vite. C'était Jack qui ressemblait complètement à une femme en
minijupe et des talons, figé sur une rampe comme un mannequin dans une boutique
de haute couture, à juste deux pas de son but.
La stimulation monta, faisant apparaître de la chair de poule sur le
corps de Jack. La rampe le déplaça dans
l'aire d'analyse.
L'ordinateur s'embrouilla un moment en
analysant le corps de Jack. Les caractéristiques ne ressemblaient pas à celles
d'un homme. Jack voulait que
l'ordinateur se dépêche comme la stimulation le galvanisait. L'ordinateur décida de donner à son
propriétaire une forme plus masculine, présumant que trop de bière avait
conduit son corps à cet état. La voix de l'ordinateur cliqueta, "Procédure
d'amplifications physiques masculines."
Jack se sentait extatique. Enfin, il serait libéré de ces terribles
vêtements de dame ! Mais alors que
l'ordinateur était sur le point de commencer à transformer Jack, une étrange
lumière miroitante commença à l’encercler.
Le continuum espace-temps commença de se tordre autour de lui. "Non
!" hurla Jack. Il réalisa qu'une machine temporelle qu'il avait construite
pour l'amener dans ce temps futur était maintenant
en train de le rappeler avant qu'il ne puisse se rechanger en homme. Une
fois retourné à sa propre époque présente, une époque avant que les Placard
Automatiques n'existent, il serait piégé
en femme pour le reste de sa vie!
C’était une course contre la montre entre le mâle Placard Automatique
qui commençait à enlever sa robe et ses sous-vêtements et la machine temporelle
continuait à rassembler l'énergie nécessaire pour ramener Jack. Tous les vêtements de Jack enlevés,
l'ordinateur commença les améliorations physiques. Y aurait-il assez de temps? Jack regarda sa main. Elle commença à lentement s'évanouir devant
ses yeux. Des disques mécaniques du Placard
Automatique s'attachèrent à la poitrine et au postérieur de Jack. Juste quelques seconds encore...
Partie V - Épilogue
Jeannette retourna à la chambre des
maîtres, écoutant les bruits du Placard Automatique de son défunt mari. Quand
elle regarda à travers l'ouverture avant, il n'y avait personne à l'intérieur.
Janet éteignit la machine et appela Jackie, mais il n'y eut pas de réponse.
Dans une autre partie de la ville, un
médecin appelé Steve fut arrêté par la police, accusé de l’enlèvement et de la
disparition d’une fille découverte chez une certaine Linda Somer. Il s'échappa par la suite, en se déguisant
lui-même en femme grâce à un Placard Automatique.
A son insu, le modèle qu'il utilisa était un super modèle de luxe numéro de
série 78900F. Il découvrit, à son
horreur, qu’il était incapable de se rechanger en homme, même en utilisant un
modèle pour homme Placard Automatique numéro
de série 78900M. Il fut par la suite
capturé à nouveau et envoyé dans une prison pour femmes où il fut sans arrêt
dragué par les détenues et finit par devenir fou.
Jack, à présent de retour dans sa propre
époque, n'était plus qu'à quelques semaines de finir son tout dernier projet. Il faisait du
bon temps. Tout au fond de la machine complexe il inséra un circuit imprimé et
lança l'analyse. Le cinquième segment de la machine fut brièvement actif, puis
s'éteignit. Jack se félicita. Il essuya
la sueur de son front avec la manche de sa blouse blanche de laboratoire. "Oui, plus que quelques semaines!"
Jack s'extrait lui-même de l'intérieur de
la machine. Fatigué, il leva les yeux
vers l'horloge et décida d'en rester là.
Il enleva sa blouse de laboratoire et l'accrocha sur un barreau. Puis il remarqua un accroc dans ses collants.
"Merde !" s'exclama-t-il. Il
haussa les épaules, retoucha ses lèvres avec du rouge à lèvres rose corail et
rajusta sa robe. Et éteignit toutes les lumières en son laboratoire sauf une.
La lumière solitaire illuminait un panneau sur la machine sur laquelle Jack
travaillait. Le panneau disait, " Placard Automatique modèle numéro de série 00001M,
version masculine."
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